« Si tu parles mal de ton frère, tu tues ton frère. Chaque fois que nous le faisons, nous imitons ce geste de Caïn, le premier meurtrier de l’histoire. Les médisances glissent toujours sur cette dimension de la criminalité. Il n’y a pas de médisances innocentes. Demandons donc pour nous, pour toute l’Église, la grâce de la conversion de la criminalité des commérages à l’amour, à l’humilité, à la douceur, à la mansuétude, à la magnanimité de l’amour envers le prochain ». – Pape François
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